CRUCIFIED BARBARA : Girls Power! (+ 404 NOT FOUND) – Mardi 3 avril 2012 – Toulouse, La Dynamo –

CRUCIFIED BARBARA enfin à Toulouse! Un rendez vous attendu avec impatience...

CRUCIFIED BARBARA enfin à Toulouse! Un rendez vous attendu avec impatience…

Déjà quatre!

 Voici venu en ce doux mais nuageux début de printemps mon quatrième rendez-vous avec les quatre magnifiques musiciennes scandinaves. Un bref coup d’œil dans le rétroviseur et me voici frappé d’un constat pour le moins saisissant : chacun de ces concerts semble être la croisée des plus belles rencontres, de celles qui sont désormais cristallisées du sceau d’une indéfectible amitié.

Crucified Barbara scella ainsi mon premier carrefour avec la bande à Boubouille à Tarbes en 2009. Quelques mois plus tôt,  avec Adrien et Seb, les suédoises furent  notre tout premier concert de notre premier festival commun, à Bilbao. Il y en eut ensuite beaucoup d’autres… Et puis, comment ne pas évoquer le Hellfest 2011 où j’ai enfin pu rencontrer les filles en toute quiétude et partager un savoureux moment avec Mia…. (Review et photos en ligne ICI sur la chronique Hellfest, welcome to the 3,65 experience )

Hasard ou coïncidences, alors que nous nous retrouvons presque tous dans cette petite salle de La Dynamo sous la protection de la Vierge Marie qui orne le lieu, cette date va encore révéler quelques liens qui risquent de perdurer…

Chloé, déjà 'sur scène ' avec Sylvie, va vivre, tel un baptème, une soirée particulière...

Chloé, déjà ‘sur scène ‘ avec Sylvie, va vivre, tel un baptême, une soirée particulière…

Flashback sur le concert de Pain cinq mois plus tôt. Une jeune fille illumine le premier rang, elle raconte son histoire sur JATA… C’était le premier concert métal de Chloé. Juste quelques coups de fils puis, celui de l’avant veille:

– Viens, ne loupe pas ce groupe qui devrait te convertir définitivement au style…

– Ok, avec plaisir me dit elle, j’ai justement besoin d’un ailleurs …

Cette soirée inaugurera notre première vraie rencontre, une métal-night de partage qui va définitivement propulser la jeune fille dans notre univers mais aussi au cœur d’une bande de potes à la complicité contagieuse. C’est peu dire que c’est avec délectation qu’elle va savourer chaque instant de ce 3 avril, prémices de bien d’autres sacrées aventures.

Nous voici au premier rang, un pied sur cette micro scène de 30 centimètres tout au plus. Les arrivées et autres embrassades succèdent à l’ introduction de Chloé auprès des miens. Juste derrière, il y a ces deux très jeunes adultes. Je les ai  fréquemment aperçus à cesse à nombre concerts. Là encore, pour Lucie et Alexis, cette nuit va symboliser la véritable introduction auprès d’une partie des fous qui composent ma famille musicale. Onze jours plus tard, tout ce petit monde se retrouvera ‘at Titi’s home’ pour une Hellfest night des plus chaleureuses.

Une petite partie de nos proches squattent le premier rang...

Une petite partie de nos proches squattent le premier rang…

Retour en ce territoire conquis de La Dynamo désormais hanté de légions de visages familiers et amicaux. Quelques 200 à 220 personnes sont présentes. La salle est bien remplie mais le groupe méritait assurément le sold-out. Quand diantre les rares filles du rock seront-elles enfin considérées à leur juste valeur?

404 NOT FOUND....Fallait y penser!

404 NOT FOUND….Fallait y penser!

Avant que Mia ne fasse résonner ses cordes vocales pour notre plus grand bonheur et que Barbie Klara ne  trémousse sa flying V et autres charmants attributs à quelques millimètres de nos yeux ébahis, place à une première partie pour le moins anachronique : 404 NOT FOUND.

Si l’on m’avait dit qu’il y aurait un strip tease ce soir, je n’aurais pas misé sur le gratteux de cet obscur combo punkisant. Que venaient-ils faire en ouverture d’un tel groupe? Mystère absolu tant le style n’avait rien à voir. Une exécution quoi qu’il en soit plus qu’honnête, des textes revendicatifs dont on ne perçoit pas bien les nuances mais un batteur doué et un guitariste inspiré évitent de justesse d’inscrire ces trente minutes dans le registre de l’ennui… Même si nous aurions préféré continuer à sourire et converser entre potes.

L’excitation est palpable durant la pause. On sent le public empressé de croquer cette tranche de bon hard rock’n roll bien pêchu, servi qui plus est par nos charmantes suédoises! Ce soir, elles semblent des plus décontractées, particulièrement sereines. Dès mon mon arrivée sur les lieux avec Jean-Claude, nous les croisions déjà dans l’étroite rue Amélie….

– Hello, nice to see you there in our town girls! Bring us into an hottest rock’n roll night…

Et voici Ida et Nikky au milieu des fans, sans chi-chi, qui se glissent dans la file d’attente, devant la porte principale, après un petit tour en ville…

– Hi everybody, thanks to came! Sourires et décontraction à la clé…

Pour Sylvie et moi-même, quoi de plus délectable de redécouvrir le groupe à travers le regard pur de Chloé mais aussi les yeux rieurs et enjoués de Camille, Chris, Pierrot, Bastien ou Gus

On sent que ça va être bon. Ready pour le grand kiff… 21 heure 40, welcome to the show. Nous voici envoutés par un univers décapant et plombé, immergé au son d’un heavy rock’n roll bien balancé qui respire la délicieuse atmosphère de la fin des 80’s.

Pas de round d'observation...

Pas de round d’observation…

Au plus près de Klara...

Au plus près de Klara…

Les filles sont toujours aussi sexy mais leur atout majeur reste la musique. Elles se servent de cette pré-tournée pour défendre comme il se doit leur troisième album que personne ne connait. Et pour cause, The midnight chase ne sortira que le 28 mai.

Mia ne la jouera pas çà l'économie....

Mia ne la jouera pas à l’économie….

C’est donc The Crucifier, qui ouvre le bal. Avec la conviction de celles qui ne s’en laissent pas compter, les belles marquent leur territoire dès les premiers accords et proposeront quinze titres imparables illustrant les trois chapitres d’une œuvre qui commence à compter dans l’univers du hard rock.

La température monte d’un cran avec le classique Play me hard enchainé avec le furieux Creatures. La fièvre est proche quand retentissent Like the devil puis Bad Hangover. Les soli s’avèrent lumineux et la complémentarité parfaite entre Mia et Klara. On se délecte de leurs poses et autres rock attitudes à moins d’un mètre de nous. Le son est clair, limpide tout en n’omettant pas la puissance de rigueur. C’ est d’autant plus appréciable que l’émotionnelle Jennyfer, seule ballade du set, nous est magistralement servie par la chanteuse brune, comme toujours soutenue par des vocaux soyeux, qui tissent, au cordeau, une nappe onctueuse. Un pur instant de frisson…

Klara, Mia, Nikky & Ida pour notre plus grand plaisir...

Klara, Mia, Nikky & Ida pour notre plus grand plaisir…

Mia, maitresse des vocaux...

Mia, maitresse des vocaux…

On touche là le grand point fort du groupe. Non seulement les compos nous ravissent mais elles sont toujours assorties d’un chant maitrisé et modulé à la perfection. La puissance va de pair avec une avalanche de vocaux et un délice d’harmonies. Telle est la raison qui propulse ce groupe au sein de mes combos fétiches.

...mais aussi fine six cordiste!

…mais aussi fine six cordiste!

L’imparable Pain & Pleasure, typique du titre entêtant qui vous reste en mémoire et ne vous lâche plus, illustre on ne peut mieux cette propension à terrasser une assistance déjà ravie et qui sera comblée par le tubesque à souhaits Sex action, attendu par tous.

La quatrième (xème?) vitesse est alors enclenchée, le public reprenant à gorge déployée un refrain déjà culte.

Ceux qui ont gardé leurs vestes en sont pour leur frais. Le thermomètre entre alors en zone rouge…

Surprise de taille, c’est avec le nouveau single Into the fire que l’on se trouve comme embarqué dans la formule 1 de la foule dont le moteur raisonne au son des quatre girls, elles mêmes surprises de susciter un tel déchainement. La réaction des toulousains est quasi orgiaque. Boubouille, n’y tenant plus, se précipite sur nous et fait basculer les filles aux pieds des suédoises. Pour Chloé, le  baptême va révéler l’intensité qu’elle subodorait. A la croisée des regards, je perçois comme une divine révélation. Je n’avais pas vécu une telle atmosphère en ces lieux depuis la frénésie The Bellrays  et jamais lors de mes trois concert ‘Barbaresques’ précédents…C’est inespéré mais bien réel…

La Nikky's touch aux vocaux...

La Nikky’s touch aux vocaux…

Les pogos s’enchainent, tout juste tempérés par le classieux Heaven or Hell sur lequel les propositions de la section rythmique, sans s’avérer révolutionnaires, n’en demeurent pas moins redoutables. Nikky semble se régaler derrière son kit, elle qui arbore ce soir un magnifique T.Shirt KISS

Ne cherchez pas le morceau bancal, il n’existe pas. Pas le moindre temps mort ni de baisse de régime dans ce set énergique. Juste quelques introductions bienvenues de Ida ou Klara  dans la langue de Molière, précieuses attentions toujours fort appréciées. Place à trois brulots pour achever le fidèle avant le rappel…

Puissant, dévastateur, frénétique, classieux, convainquant...

Puissant, dévastateur, frénétique, classieux, convainquant…

Klara tente de  nous tuer par la mort!

Klara tente de nous tuer par la mort!

L’urgent et speedé Motorfucker met le feu à La Dynamo et précède l’excellente et féminine reprise du Killed by Death de Motörhead serinée par une  Klara somme toute efficace en lead singer… Pierrot savoure l’instant avec une délectation illustrée par la face radieuse d’un Mr Lemmy au diapason d’une foule virevoltante qui chavire dans le no man’s land imperceptible d’une totale communion. Inespérée, la fusion devient brulante sur l’incontournable Losing the game et son refrain immédiat servi par des vocaux savoureux.

Le set ne semble entamé depuis une poignée de secondes que déjà, les croustillantes suédoises tirent leur révérence et rejoignent l’escalier qui remonte vers les loges! Heureusement, les scandinaves n’ont pas fini de nous émoustiller.

Seul bémol à la prestation, il ne fait désormais aucun doute que le plaisir sera trop court. Comment se passer des deux titres tels que les imparables Killer on his knees, Can’t handle love ou encore de la pièce maitresse, onctuosité de feeling, que représente My heart is black? Quand on pense qu’une réussite comme Danger danger ne semble jamais avoir été jouée live, on se dit que les ressources des divines sont inépuisables…

Mais, loin de bouder notre plaisir, nous voici à nouveau d’attaque devant les quatre jolis minois qui nous proposent un Rock’n roll bachelor survolté suivi d’un In distortion we trust  heavy à souhait.

Cette photo en dit long sur la complicité qui unit les filles, ici Klara et Mia...

Cette photo en dit long sur la complicité qui unit les filles, ici Klara et Mia…

Quand les lumières s’éteignent, Nikky rappelle ses copines afin qu’elles saluent comme il se doit un public survolté, toujours respectueux des trois frontwomen qui se sont succédées sur la petite avancée. La batteuse tient à se rapprocher elle aussi. On se dit qu’après une telle ovation, cette soirée magique ne peut pas déjà proposer son épilogue. Rien n’y fait, tandis que les girls regagnent leur perchoir (les loges sont au dessus de la scène), ça ovationne à tout va. Nul ne désire quitter les lieux. Il faudra que le roadie qui les accompagne enlève les micros pour que nous nous rendions à l’évidence : 70 minutes, that’s all!

Bye bye Toulouse...

Bye bye Toulouse…

Toutefois, la nuit n’est pas encore terminée, loin s’en faut. Nous nous retrouvons tous, comme épanouis, vraiment ravis que le temps se soit accéléré. Mon paternel, qui a vécu le set au premier étage en face vient de prendre lui aussi une énorme baffe. Après Thin Lizzy, il enchaine les coups de cœur. La bande à Boubouille rayonne…

Ça tournicotte dans tous les sens. Bien des mines ravies semblent décidées à attendre les stars du soir. Toutes les mauvaises langues et autres boudeurs intempestifs restés à domicile, ceux là même qui fustigent le groupe pour leur apparence, en sont pour leur frais tant la prestation proposée ce soir , quasi exempte de reproche, se conjugue avec intemporalité.

Tout au long de cette parcelle de vie, le quatuor féminin s’est amusé à titiller notre point G musical, celui-là même qui n’avait pas été caressé avec autant de malice depuis que Vixen a jeté l’éponge de l’interaction 100% féminine avec le monde du hard-rock au début des 90’s.

Cerise sur le gâteau, alors que la patience et les impératifs du lendemain ont eu raison de la foule, il ne reste plus que quelques privilégiés quand les filles, disponibles à souhait, nous offre une after des plus délectables dont Chloé et votre serviteur profitent allégrement.

Je demande alors à la très abordable et charismatique Mia si elles comptent un jour jouer live leur excellente reprise de Shout it out loud d’un autre quatuor, masqué celui-ci!

– Maybe but perhaps not this one. May you suggest me another title?

Je réfléchis et lui propose un joyau qu’elles pourraient convertir en diamant.

– Wouaw,  I am a legend tonight could be the perfect song for you!

– I don’t know this one and will listen to it!

Continuant le dialogue et les raccompagnant à leur van, rêvassant à tout va, je confie à Chloé:

– Souviens toi de l’instant… Tu imagines si elles reprennent un jour ce titre?…

Quoi qu’il en soit ni elle, ni moi, ni aucun des chanceux du soir n’oublieront ce petit concert pas tout à fait comme les autres où les filles détenaient le pouvoir…

Une after des plus savoureuses...

What an after my friends!!!

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Chronique, photos, mise en page : Titi.
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Un grand merci à 106DB et à Dominique Bérard en particulier pour l’accred’  …. Merci aussi à l’équipe de La Dynamo pour sa compétence.
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SET LIST :

La set list du soir...

La set list du soir…

LIENS :

CRUCIFIED BARBARA WEBSITE

CRUCIFIED BARBARA MYSPACE

21 Réponses to “CRUCIFIED BARBARA : Girls Power! (+ 404 NOT FOUND) – Mardi 3 avril 2012 – Toulouse, La Dynamo –”

  1. BOUZIGHEAD Says:

    oui le rock’n’roll c est « as simple as that « excellent report d un
    excellent moment …bein que trop court

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  2. A quand le retour des Spice Girls ???

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  3. Agréable découverte en effet! Un peu trop court mais très bon tempo, excellente prestation de Mia au chant, participation guitare très intéressante… Dommage que la percu ne soit pas plus variée mais bon soutien rythmique à revoir avec grand plaisir dans un autre lieu peut-être et toujours intéressant de revivre ces soirées au travers de tes écrits…

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  4. Chloé Balssa Says:

    Merci encore une fois, Thierry, de nous faire vivre et revivre ces expériences ! Tu rends si bien l’enthousiasme ambiant… Et j’aime ta façon de qualifier mon regard de pur, merci de me rendre mon innocence auprès de ceux qui me traitent de peste depuis le concert de Pain !
    Peut être aurais tu pu encore marquer la folie qui a gagné le public en précisant que le premier rang (c’est-à-dire Sylvie et moi) devait résister à une marée humaine pour ne pas littéralement atterrir sur scène ! Mes tibias en portent encore les stigmates : un hématome sur chaque jambe à 30 centimètres de hauteur !
    Au delà de l’anecdote, j’ai pris beaucoup de plaisir à ce concert, je suis touchée d’avoir autant de place dans ta chronique, et je finirai en disant (voire en criant après tout !) mon impatience quant à participer à une autre osmose musicale aussi grande !

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  5. Il se passe décidément plein de choses à Toulouse, bande de veinards !! Une fois de plus cette belle chronique donne tellement envie d’avoir été là ! Et mention spéciale aux photos : superbes !!! Bises

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  6. Hello

    Le moindre que l’on puisse dire sur les Crucified Barbara sur scène, c’est que c’est diablement efficace! quel claque!
    Les 70 toutes petites minutes (syndrome Blackie Lawless!?) sont passés bien trop vite même s’il a fallu attendre un gros « Motorfucker » pour que la foule se dechaine véritablement.
    Il a juste manqué un petit « My heart is black » avec l’intro acoustique comme dans les festivals

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  7. JEAN-CLAUDE Says:

    Super chronique de Crucified Barbara! Que de souvenirs de cette soirée!
    Juste pour info,elles ont déjà repris en live « Shout it out loud » à Castres la premiere fois que je les ai vues,j’etais comme un fou !!!!

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  8. Belle rédaction et très poétique mon Titi, comme à chaque fois ! De belles rencontres, ce qui donne une belle soirée. Mêmes sentiments ressentis après le concert ravageur donné en Ile de France par une Mia magnifique et des Girls Power en pleine forme.

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  9. Une nouvelle fois j’avais l’impression d’être au concert tellement
    la passion, l’atmosphère de cette soirée, les détails du concert sont si bien relatés. Je me suis régalée car ton écriture me surprend toujours, tellement expressive et… poétique! Félicitations!

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  10. Entre les Crucified Barbara et Chloé tu t’ai offert un after-show des plus sympathiques mon Titi! Petit veinard, il y en a un paquet qui auraient aimer se retrouver en si charmante compagnie! Excellente chronique sinon, on sent que ton rapport au groupe est devenu on ne peut plus particulier depuis le Hellfest 2011 et ton rapprochement avec Mia. A quand les Crucified Barbara dans ton salon pour une soirée Hellfest?

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  11. chouzenoux Says:

    tres bonne chronique felicitation pour ton recit franchement tu es doue pour raconter les concerts!!!!!
    au 27/04 pour ta 1ere organisation

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  12. Encore une super chronique! merci à toi… C’était un vrai plaisir de te rencontrer et encore à très vite;
    Et puis, tu as raison c’était quoi cette première partie???

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  13. ton obligé Says:

    Titi,

    Je découvre ton compte rendu sur Crucified Barbara. Comme pour Tarja que j’ai découvert à travers tes lignes, je ne connais pas non plus, juste entendu parler. De toute façon je pouvais pas être à Toulouse ce soir là … Je m’aperçois que je connais même pas cette salle. En lisant rapidement, je vois que Vixen apparait encore dans ton reportage, décidément !
    Bravo pour tout ce que tu fais.
    JF

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  14. je ne suis pas allé à ce concert mais j’ai lu avec plaisir cette bonne chronique !
    Les photos, elles sont super!

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  15. roux-augueres Says:

    Tu prends vraiment un plaisir fou dans ces concert mais la ….cerise sur le gateau : 4 spendides filles te titillent le point « g « …musical !!!
    J’aime tes commentaires si imagés et les photos sont super!!
    grosses bises

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  16. VINCENT VAN AUBEL Says:

    Salut p’tit chanceux,
    Tu as tout d’même l’art de te mettre là où il faut.
    A force de les rencontrer, tu vas finir par les avoir en vacance chez toi LOL.
    De bonnes petites hard rockeuses, fans de Kiss en plus!

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  17. Yo Titi !

    Bon j’ai enfin pu lire tes chroniques ouf…
    Comme d’hab, tu sais parfaitement communiquer ta passion et tu sais bien retranscrire les émotions éprouvées lors d’un concert.
    Je ne connais pas C.BARBARA mais tu m’as donné envie de connaître !!!

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  18. ton obligé Says:

    Salut, à propos de la review et photos de Mia ???? Dans le second paragraphe tu parles d’un moment savoureux avec Mia et écrit en vert les mots suivants entre parenthèses (Review et photos en ligne la semaine prochaine)
    Je pensais donc voir la semaine suivante un lien avec des photos de ces instants et une série avec Mia. Mais sur l’écriture verte toujours pas de lien pour les photos en questions. Visiblement j’ai pas bien compris et ai donc attendu quelque chose qui n’est pas arrivé.
    Je croyais que tu avais oublié de les mettre mais il semble juste que j’ai extrapolé, désolé.
    Oui, je sais, je suis gourmand. D’habitude pourtant je résiste bien aux friandises, mais là…

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    • C’est paru sur HELLFEST WELCOME TO THE 3,65 EXPERIENCE….
      Les photos avec Mia y sont au chapitre 4…

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    • Marchal Francis Says:

      Encore bravo Titi , toujours au top pour décrire un bon concert! Ces filles méritent plus d’attention de notre part, vues pour la première fois à Ris Orangis en 2005 et cette année fin Mars à Toul et Thionville. Un concert un peu plus long, c’ est tout ce que je demanderais à ces charmantes et sympathiques demoiselles. Comme Joan Jett sans forfaitures et ça j’ aime.

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