JOURNEY / FOREIGNER : Crossroads in Paris ( + Nono ) – Jeudi 7 juillet 2011 – Paris, Palais des sports –

C’est une histoire de voyages, ou plutôt le croisement d’une multitude de parcelles de vies qui allaient se juxtaposer, trouver leur point d’orgue au Palais des Sports de Paris en ce timide et agréable début d’été 2011.

A peine remis de notre périple annuel au Hellfest, nous voici tous les trois installés dans le TGV Toulouse – Paris. La découverte du nouveau  DVD, magnifique, de Mass Hysteria bercera hargneusement notre trajet.

Un voyage vers la capitale mais aussi un voyage vers la convivialité des Philippines d’où est issue les trois quarts de la famille de notre merveilleux hôte, mister Jérôme Barre, pour laquelle le sens de l’hospitalité durant cinq jours ne sera pas un vain mot, tant chaque attention à notre encontre émanera de la grandeur d’âme de ces gens-là, chaleureux, simples.

Voyage par conséquant vers  Arnel Pineda, l’étonnant chanteur Philippin de Journey depuis déjà cinq ans, digne héritier du légendaire Steve Perry, l’un des héros de mon adolescence,  et de Steve Augeri, un remplaçant des plus classieux dont la tessiture identique surprenait déjà …

Enfin, voyage dans le temps, dans nos souvenirs, dans la mémoire du rock mélodique, dans ce passé qui vous caresse d’une onctueuse texture et semble vous préserver des ravages du temps par la magie d’une musique intemporelle qui n’a pas pris une ride …

Bienvenue dans cette étonnante machine à remonter le temps et à vous faire traverser d’impérissables souvenirs en master class. Aujourd’hui, elle se nomme Palais des sports, revêt des atours classieux habillée de sièges de velours bleu qui taquinent une fosse minuscule. Ne sommes nous pas plutôt aux States, catapultés dans un stratosphère spacio-temporelle vers la fin des 70’s, période bénie où le virage mid 80’s ne s’est pas encore évertué à détacher le fruit de ses racines.  Welcome to an early 80’s  journey !

NONO : tout semble décidément se faire au dernier moment !

NONO ouvre le bal. Oui, the Nono ! Le guitar héro de Trust. Premier bon point, l’homme nous renvoi une image de nous mêmes identique à celle d’il y a trente ans. Bercé par cette illusion chimérique, force est de constater que le co-leader de l’ex plus grand groupe Français de hard-rock n’a pas changé ! Étonnant …

L'éternel guitariste de Trust et le clone de Keith Richards.

Malheureusement, nous voilà vite tout aussi surpris de constater avec quel amateurisme, quelle désinvolture cette date semble avoir été préparée. Résumons en disant que l’accueil poli ne masquera aucunement la contre promo totale exercée par cette prestation sans voix et sans saveur pour le premier et tout nouvel album du célèbre guitariste. Allez, une petite reprise pour clôturer ces 30 minutes dispensables : ce ne seront ni L’élite, ni Mr Comédie, encore moins Antisocial, qui auraient eu le mérite de mettre un brin de fièvre dans l’ enceinte. Voici donc « On The Road Again » de Canned Heat … M’ouais  …

En attendant FOREIGNER ...

Les lumières se rallument. Mêm’ pas le temps d’afficher sa circonspection. Je suis bien à Paris et tant d’amis sont là ! Les fans de Kiss sont légion autour de nous. Je retrouve mon super pote Seb Ramez, il y a Benoit Fournier, Jeremy Navarro et même Fifi, mon hôte lors du concert de la bande à Paul Stanley à Bercy en 2008 !  Jean Pierre Sabouret est aussi de la partie. Je présente à mes amis le célèbre journaliste, celui qui à travers les décennies a toujours œuvré pour la cause … Les sourires de rigueur présagent du meilleur …

J.C. Jean Pierre Sabouret, Jimmy & Sylvie.

Au premier rang, à coté de Jimmy et J.C, une petite fille ne réalise pas ce qui lui arrive. C’est son anniversaire. Clara a huit ans aujourd’hui. Ses parents, aux portes du bonheur, lui ont réservé une surprise de taille. Elle ne savait pas qu’elle serait là ce soir, elle ignorait que son groupe préféré passait en concert. Elle va vivre son rêve : voir JOURNEY !

Mais pour l’heure, place à un monstre sacré du hard FM Américain, plus qu’une cerise sur le gâteau, voici les multi-platines FOREIGNER !

Belle configuration scénique tout d’abord, backdrop flanqué d’un F, rampes inclinées sur deux étages vous amenant vers la batterie dans l’axe et le clavier à notre gauche. Soigné…

FOREIGNER va nous catapulter dans un univers somptueux !

Mick Jones & Kelly Hansen chavirent la foule dès l'entame du show !

Retentissent alors les premiers accords de Double Vision. Quand classe et claque naviguent par deux jusqu’à vos yeux et vos oreilles, nous sommes déjà sonnés. Il ne manque que la voix. On a peur. Juste le temps d’un petit réglage, ça y est, nous voici embarqués dans cet espace temps indescriptible dont seuls quelques rares concerts d’exception détiennent la clef.

Harmonie parfaite, osmose absolue ...

Du Foreigner originel, il ne reste que le légendaire Mick Jones, compositeur, guitariste, fondateur, producteur. Le parallèle avec Neal Schon de Journey est stupéfiant. Tous deux ont su s’entourer, depuis 5 ou 6 ans de musiciens hors pair qui ont redonné un nouveau souffle à ces deux mastodontes. Nouveaux albums, tournées à succès, groupes soudés, deux véritables résurrections. Mais surtout, le plus étonnant, ce sont les chanteurs.

Comment remplacer Steve Perry et Lou Gramm ? Deux empreintes vocales uniques, reconnaissables entre mille …

Premier constat stupéfiant : Kelly Hansen a non seulement la même tessiture que Gramm mais sa justesse n’a d’égale que sa classe naturelle et son sens du spectacle.  Poseur pour notre plus grand plaisir, un brin maniéré façon rock star imparable, le gars est un véritable showman. Alors que  le père Lou était avant tout un superbe chanteur de studio trainant à ses basques une délicate réputation en live, Hansen capte tous les regards, fascine l’auditoire, électrise la demoiselle, se donne sans compter. Je glisse à l’oreille de Sylvie :

– C’est hallucinant, ce mec est la parfait mélange entre Steven Tyler d’Aerosmith et le regretté Steve Lee de Gotthard !

Elle acquiesce.  Inexorablement, nombre sont ceux dont cette pensée a dû  traverser l’esprit .

Kelly Hansen proche de son public. Pict : Seb.

Jeff Pilson, le headbangueur du combo !

Avec un tel chanteur, puissance et émotion se marient à la perfection. On assiste, bouche bée à une déferlante de tubes exécutés tout en décontraction avec une facilité déconcertante. Cette belle et forte présence n’altère en rien l’alchimie absolue qui se dégage du groupe.  Si le batteur et le clavièriste demeurent en retrait, Kelly Hansen ne vole en aucun cas la vedette à ses trois autres frontmen : quel plaisir de retrouver à la basse un Jeff Pilson des plus motivés, véritable pile électrique. Depuis quelques années, l’ex Dokken, caution ‘headbangueuse’ du groupe, se révèle dans Foreigner comme un poisson dans l’eau !

Nous partageons un moment éternel avec les légendes du rock léché.

Souriant, jovial, le multi instrumentiste Thom  Gimbel impressionne tantôt à la flute, à la guitare où lors de son hallucinant solo de saxophone sur le hit planétaire Urgent. A genoux, il ne cesse de décrocher des notes improbables et de multiplier les prouesses nous laissant à notre tour … on our knees !

Un de ces moments où le voyage nous amène loin ...

Tom Gimbel : un solo intersidéral sur 'Urgent' ! Pict : Seb.

Quant-à Mick Jones, le père tranquille force le respect. Il EST ce groupe. Foreigner vit encore par son amour de la musique. A l’abri du besoin depuis belle lurette, il véhicule, à l’image d’un Ian Gillian avec Deep Purple, ce détachement passionné de ceux qui ont tout connu, tout vécu et ne cesse de donner pour recevoir à juste titre ces applaudissements qui pimentent sa vie. Le superbe Starrider qu’il chantera solo soutenu en triple voix par Gimbel et Hansen nous conviera encore plus loin dans ce prodigieux voyage. Il s’adresse à nous dans la langue de Molière pour introduire cette ôde qu’il dédie à son fils présent dans la salle. C’est son anniversaire. Tout cela se fait simplement, avec tact et classe. Le public entame un maladroit’ Joyeux anniversaire’ in french dans le texte. Pas top mais Mickest touché, c’est l’essentiel.

Mick Jones : la classe ! Pict : Seb.

Il pleut des tubes dans le Palais, la set list est impressionnante et seul l’excellent, récent et énergique Can’t Slow Down résiste à l’ âge d’or du groupe aire Lou Gramm.

Kelly Hansen, déchainé ! Pict : Seb.

Sans la moindre redondance, le plaisir est total, absolu. On navigue dans ce parfait voyage, amené sur d’invisibles coussins d’airs tels Cold as Ice , Hot blooded , Head games, Feel like the first time ou encore un intense Juke box hero où  Hansen chavire l’assistance et Mick Jones nous tricote un solo délicieusement roots, majestueux sans être démonstratif, dont il a le secret.  Kelly est proche du public, il court dans l’ère désormais  désertée par les photographes et ne s’accorde que de brefs répits le temps de balades intemporelles et définitives telles que Waiting For A Girl Like You ou le standard I Want To Know What Love Is . Là encore, la profondeur de sa voix fascine, émeut, chavire un public littéralement immergé et qui a oublié que Foreigner ne clôture pas la soirée !

I want to know what love is...

De ma position privilégiée, je montre à mes amis un compte à rebours  dissimulé sur le coté qui égrène  imparablement les minutes et secondes dévolues à la co-têtes d’affiche…. qui ne s’en laisse pas compter et nous offre 80 minutes de bonheur, cinq de plus que prévues !

Quand les lumières se rallument, impasse faite sur des merveilles telles que que Say you will, ou la planant Girl On The Moon , impossible  toutefois de ne pas ressentir ce sentiment de satisfaction générale tant les mines de chacun semblent épanouies, ravis que nous sommes d’avoir entonné avec le groupe chaque refrains de tant d’ hymnes imparables d’un big rock ultra inspiré soutenu par de discrètes mais efficaces nappes synthétiques et emportées si haut par un organe d’une absolue justesse.

Tant d’années d’attente pour assister à un tel concert laissait place à un sentiment à jamais révolu de frustration ! Et qui sait, peut être que la prochaine fois arrivera plus vite que l’on ne croit !

Après tout, n’avais-je pas attendu plusieurs décennies pour enfin découvrir Journey sur scène ?

Je n’y croyais plus quand vint ce fameux concert au Arrow festival en Hollande en 2008. Nous étions loin, très loin de la Mainstage. Il y eut ensuite Bilbao au Kobetasonic en 2009, au premier rang cette fois, des conditions parfaites, un concert merveilleux … mais une heure, 70 minutes maxi à chaque fois, c’est peu pour un fan !

Aujourd’hui, pour la première fois, je découvre mon deuxième groupe favori en salle, en tête d’affiche. J.C, Jimmy, Marco et Jérôme ont décroché la drapeau Philippin qui trônait en bonne place dans leur appartement. Le voici accroché à la barrière, vite brandi dès l’entame du set des Américains.  A n’en pas douter, le petit chanteur ultra dynamique recruté sur youtube, devenu culte dans son pays sera sensible à l’attention.

Plus que quelques minutes avant Journey ...

Mais après cette impression phénoménale laissée par un seigneur de l’AOR, le petit prince du rock mélodique sera- t-il à la hauteur de la lourde succession qui lui incombe ?

Des sourires pour la légende de l' AOR !

Separate ways telle une entame évidente nous propulse dans l'univers de Journey . ...

Dès son apparition sur les accords de l’inévitable  standart Separate Ways qui ouvre le bal, Rosanna est émue aux larmes … Pour l’épouse de Jérôme, ses enfants et ses compatriotes, un tel avènement artistique, surtout dans ce style musical, représente plus que ce que l’on peut imaginer. Je ne vois pas le visage de la petite Clara mais le sourire de ses parents en dit long. Imaginez son sentiment quand, après une brève introduction le son du clavier si caractéristique de Jonathan Cain vous propulse dans ce grand huit dont les seuls frissons ressentis sont synonymes de bonheur, de communion absolue. La famille de la petite fille est à nos côtés . Elle profitera allègrement des nombreux contacts physiques dont Arnelnous fera grâce !

Le contact est établi ...

Peu avare avec ses fans, il se jette littéralement sur nous tandis que Marco lui glisse des compliments en Philippin …

Malheureusement, le groupe ne déploie pas l’impressionnante structure scénique amenée lors de sa tournée anglaiseun mois plus tôt. Les multiples écrans sont passés à l’as, il n’y a pas de fumée et seul un immense  backdrop de festival est déployé, c’est peu . La considération des Américains pour la capitale française serait elle proportionnelle à l’indifférence de notre pays durant de longues décennies envers ces dieux du rock ? Allons nous payer le tribut de notre inculture pour cet imparable easy listening teinté de Californie ?

Schon, l'artiste, Valory, l' amuseur ...

Certes, il y a les amusantes mimiques incessantes du bassiste Ross Valory, la dextérité absolue de Neal Schon, son touché unique, déluge de subtilité, et les upercuts d’un des tout meilleurs batteurs du monde, Dean Castronovo mais le groupe, malgré Arnel et sa fougue permanente semble comme distant, visiblement moins concerné que lors de sa tournée anglaise. Après ce que nous venons de vivre, cette impression d’un combo en roue libre, sans véritable implication suscite imperceptiblement une once de déception. C’est d’autant plus regrettable qu’Eclipse, le nouvel opus n’est pas aussi réussi que ne le fut la magnifique Révelation, premier album avec Arnel dont plus aucune chanson ( immense frustration ) ne figure dans la set list. Comment se passer d’un brulot absolu tel que Wildest Dream ? Un tel titre, ajouté à deux trois autres merveilles (  Resonate Change For The Better, After the Fall ) auraient prodigué à ce set le  supplément d’âme qui lui manquait. Seule réelle surprise : la présence du vieil et excellent Escape … Il me vient à l’esprit cette courte époque assez proche où le groupe prenait tous les risques. Il s’était octroyé , le temps d’une tournée américaine, les services d’un des meilleurs chanteurs de la galaxie et reprenait , avec l’anachronique Jeff Scott Soto des brulots tels que Chain reaction ou Edge of the blade!!!

Jonathan Cain, ici à la guitare, mais plus à l'aise derrière un piano.

Alors bien sûr, quel bonheur d’entendre Edge of the moment, somptueux nouveau titre dont les arpèges aériens de Schon font merveille. Tout comme pour Foreigner, les hits sont légion dans cette set list peut être un peu trop évidente mais où le plaisir est toujours aussi intense lorsque retentissent les légendaires Don’t Stop Believin’, Ask The Lonely ou les sublimes balades romantiques que sont Faithfully ou Open Arms . C’eut pourtant été tout aussi délectable et bien plus original de proposer les’ ‘Arnéliens’ After All These YearsWhat I needed.

Un certain rapprochement entre Arnel et Jérôme, dont la vie tourne indubitablement autour des Philippines !

Il manque juste le petit plus qui propulse un très bon concert dans la sphère imperceptible des shows mémorables. Depuis Londres, on peut se demander pourquoi quatre chansons ont disparu dont l’indispensable et sublime Mother Father interprétée magistralement par Dean Castronovo. C’est celle dont je rêvais, nous en fumes privés ! Le batteur à la voix incroyable en aurait assis plus d’un ! Même Who’s cring now, pourtant mentionnée sur la set list, est passées à la trappe !

78 minutes plus tard ...

Faithfully, frisson garanti ...

Sylvie & Rosanna, avant de quitter les lieux ...

Au final, même si j’attendais mieux de cette troisième rencontre ( 1h 18 , c’est trop court ! ), Journey aura été éblouissant de maitrise  à défaut d’être innovant et impliqué. Nous nous serions bien passé de Nono pour profiter 20 minutes de plus des deux monstres mélodiques. Avec une telle affiche, tout était réuni pour une date mythique. C’était sans compter sur ce manque de souffle, ce léger sentiment d’inachevé, ce manque de motivation d’un groupe qui figurera à jamais sur le podium des légendes de mon existence.

Le voyage se conclue sous une pluie de médiators. Les deux groupes n’ auront pas été avares de ces petits souvenirs ! Avec eux, nous sommes partis dans une sphère lointaine, la galaxie des wildest dreams…. Si nous n’étions plus dans la capitale française, dommage qu’elle ne fut pas s considérée avec autant de respect que le fut la prodigieuse tournée anglaise … avec Styx en ouverture !!!

Open arms ... Pict : Seb.

Journey signifie voyage. Or, ce soir, il lui manquait l’étincelle pour nous transcender, la flamme qui lui sied habituellement à merveille. Sans pour autant nous avoir laissé à quai, pour partir très très loin ce soir, le bon ticket était celui de l’étranger : Foreigner !

Un grand merci à Alice  de Gérard Drouot Productions.

SET LIST JOURNEY :

Comme écrit dans le report, le possible n'est pas devenu réalité ...

SET LIST FOREIGNER :

Double Vision
Head Games
Cold As Ice
Can’t Slow Down
Waiting For A Girl Like You
Dirty White Boy
Starrider
Feel Like The First
Urgent
I Want To Know What Love Is
Hot Blooded
Rappel :
Juke Box Hero

13 Réponses to “JOURNEY / FOREIGNER : Crossroads in Paris ( + Nono ) – Jeudi 7 juillet 2011 – Paris, Palais des sports –”

  1. Toujours aussi intéressant de te lire trés bon ressentit de votre soirée et encore bravo pour ton écriture

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  2. Je ne savais pas que FOREIGNER était à Paris , dommage car je serais montè . Bon ce n’est que partie remise .
    Merci TITI pour ce compte rendu .

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  3. VINCENT VAN AUBEL Says:

    Que dire de cette chronique pour ne pas toujours répéter les mêmes choses?
    Et bien je ne sais pas quoi dire si ce n’est que je vais encore et encore répéter qu’en dehors de tes qualités de maîtrise de la langue française, ce qui me plaît le plus dans
    le style qui est le tiens, c’est d’abord que tu arrive à nous faire voyager dans le temps et l’espace et ensuite, mais surtout tu nous fasses vivre et ressentir ces moments de magie
    relationnels ou musicaux qui surractivent nos émotions. Ces instants, parfois furtifs, sont d’une très grandes valeur, pour nous, passionnés de musique, de camaraderie et bien-entendu
    d’amitiés. Tu ne fais pas le compte-rendu de concerts, mais tu nous y emmène! C’est là qu’est pour moi ta plus grande qualité de chroniqueur.

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  4. GAETAN VAREY Says:

    Déçu par leur dernier album, je ne suis donc pas monté sur Paname pour Journey, une certaine lassitude m’envahit désormais lors de leurs concerts, certes la voix est magnifique mais Arnel Pineda n’a désespérément pas le charisme d’un frontman de groupe de rock, malheureusement pour moi la mayo ne prends plus pour l’instant. Par contre Kelly Hansen, le top du top….
    Demain samedi c’est Roger Daltrey pour tommy aux Lokerse Festen en Belgique, quand les légendes passent il ne faut surtout pas les manquer !!!!!
    Vivement Van Halen l’année prochaine !!!!

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  5. Que dire puisque c’est encore et toujours tellement écrit et décrit avec talent et passion!….Tu amènes tes lecteurs à ce concert une
    fois encore, sans oublier le moindre détail qui est souvent exprimé d’une façon très poétique…. C’est un régal de te lire!

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  6. Très bon report, comme à chaque fois !!!
    Tu as très bien traduit le fait que l’on a assisté à de bonnes prestations de groupes devenus légendaires, mais il y a un léger sentiment de frustration …

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  7. MAX SYLVESTRE Says:

    Super ton article sur le Concert du 7 juillet !!!!!
    D’aprés toi qui était le batteur de Foreigner ?????
    J’ai entendu dire Mark Shulman .

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  8. Parait il que Neal Schon s est marié la veille du concert à paris , ceci expliquant peut etre ce concert ( TRES ) moyen du groupe
    pour etre gentil…

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  9. Ça confirme ce que m’ont dit mes potes présents…
    Un Journey au rabais, un Foreigner de feu et un Nono… euh….mauvais !

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  10. Foreigner et Journey deux groupes légendaires, réunis sur une même affiche, c’est « top » ! J’aurai bien aimé être présent moi aussi… Merci pour cette « méga chronique ». Du « Titi » dans le texte, toujours un vrai plaisir de lire tes chroniques « inspirées ».

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  11. Eric Badey Says:

    Excellent Thierry, comme d’hab. Merci beaucoup ! …’aurais adoré être présent !!! Encore une fois deux groupes qui ont fait vibrer mon adolescence. Heureusement que tu es là pour nous en faire le récit avec la maestria qui te caractérise. Merci Thierry

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  12. Superbe review et qui correspond fort bien à ce que nous avons vécu ! Néanmoins, ma fille – et oui la petite Clara que tu cites fort gentiment – était aux anges pour son premier vrai grand concert programmé le jour de son anniv’ !!! Suis assez d’accord avec toi sinon sur l’ensemble : Foreigner > Journey sur ce coup, alors que j’avais été emballé il y a 2 ans au Bataclan par la prestation du groupe US (comme au Arrow d’ailleurs 1 an avant). Je dirais que le concert n’a jamais pris le temps de décoller : ça manquait de folie, de chaleur, de réels temps forts ceci étant dû, peut-être, à une setlist privilégiant l’efficacité mais un peu bancal, il manquait aussi des « epic » (tu cites fort justement Mother Father). Je pense que les concerts UK était en effet bien meilleurs (le boot de Manchester qui circule le prouve d’ailleurs assez largement).

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  13. J’adore vraiment cette chronique sur Journey !!!

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