ALICE COOPER : Orianthesque ! ( + THE TREATMENT ) – Samedi 5 novembre 2011 – Toulouse, Le Zénith –

Avant tout, un grand merci à Euterpe et à Didier pour le partenariat qui a permis à 6 lecteurs de JATA de gagner par concours leur place pour ce concert !

ALICE COOPER, Toulouse, l'affiche officielle.

Un grand merci à Adrien dont voici le quatrième récit pour JATA  …

Alice, Chuck et Tommy. (c) Bernard.

Alice, Chuck et Tommy. (c) Bernard.

Avant d’entrer dans cette chronique replongeons-nous en juin 2010, en plein Hellfest, final de la deuxième journée, lors de la tournée « Theater Of Death ». Ce soir-là, je vis mon premier concert d’Alice Cooper. Je  m’attendais au meilleur étant donné la réputation scénique du Monsieur…  Avec un show totalement théâtral, bien interprété musicalement et faisant la part belle aux classiques des années ’70, âge d’or des débuts du « shock rock », dans lequel Alice faisait figure de maître incontestable, ni moi, ni mes compagnons (Titi, Seb etc) ne furent déçus ! Malheureusement, le temps a passé et les monstres et autres engins de tortures utilisés sur scène  font bien plus rigoler que choquer en comparaison avec les frasques de certains groupes de métal extrême qui poussent le concept à son paroxysme (toujours plus de sang !).

Alice nous présentera sa fiancée. (c) Bernard.

Malgré tout, le mentor n’a pas à rougir car il nous avait montré ce soir-là au Hellfest à quel point il était en forme malgré sa soixantaine bien tassée. Ce fut un concert mémorable, un des points culminants du festival.

Même Alice, même pêche ! (c) Bernard.

Avec de tels souvenirs, impossible de rater sa venue au Zénith de Toulouse, d’autant plus qu’il n’a pas fait honneur à la ville rose depuis 1982 (année de ma naissance !). Je me régale d’avance à l’idée de le revoir et cette fois-ci j’y emmène Karine qui n’avait pas pu venir au Hellfest. Thierry, Sylvie, Jimmy, Camille, Christophe, Pierrot, Boubouille et bon nombre de représentants de notre bande toulousaine sont bien-sûr de la partie. Seules les taupes sont restées au chaud dans leur galerie souterraine (dommage, vous êtes si mignons…). Une mention spéciale pour notre ami Seb qui, une fois n’est pas coutume, à traversé la France pour voir le concert avec nous (alors que le groupe passait à côté de chez lui !), tout comme Flore qui n’habite pas non plus dans le quartier voisin.

La sublime Orianthi

Nous revoici donc tous à squatter le premier rang, comme d’hab’ .. mais venons-en au concert! Même si ça fait plaisir de retrouver les copains, celui qu’on a le plus envie de voir ce soir c’est tout de même Alice Cooper !

The real Orianthi in Toulouse! (c) Bernard.

Pardon Pierrot, tu m’as parlé de qui ? Oriantini ? Quèsaco ? « La guitariste d’Alice Cooper!  Putain, me dit pas que tu l’a jamais vue! Elle va être juste en face de nous; on est les mieux placés du zénith! »

A voir son excitation, je me dis que j’ai raté un épisode! Pourtant j’ai bien tous les albums, même le dernier en date, je connais le groupe par cœur et pourrais chanter les classiques (presque) a capella ! On m’aurait menti ? Alice Cooper se serait donc approprié les services d’une demoiselle aux attributs surdimensionnés (physiquement et artistiquement) et je suis le seul blaireau à être passé à côté de l’info ? Il faut croire que oui malgré plusieurs news sur Jata où ses clips et sa venue avec le maitre avaient été largement évoqués.  Sur ce sujet là je n’en mène pas large. Toutefois, je suis sur le point de rattraper mon retard : ce soir, ne l’oublions pas, je fais partie des mieux placés!

Orianthi en mode Alice. (c) Bernard.

The Treatment. (c) Moocher.

The Treatment. (c) Moocher.

La première partie commence pile à l’heure (20h) dans un Zénith peu rempli. Nous voici vite ébouriffés par le son tonitruant d’un nouveau groupe britannique nommé The Treatment.

The Treatment. (c) Moocher.

The Treatment. (c) Moocher.

Ils sont très jeunes, encore sponsorisés par Biactolpour la plupart (enfin le bassiste à du rompre son contrat), mais ils envoient sévère avec leur hard rock’n’roll couillu, pas original certes, mais ultra-efficace! Nul doute qu’ils ont du faire un tabac au bal de promo… Qui plus est, leur présence scénique est géniale : ça bouge dans tous les sens, ça joue avec le public en permanence : c’est souriant, pêchu, bref: ils nous ont botté le cul !

The Treatment. (c) Moocher.

The Treatment. (c) Moocher.

La Cooper's Orianthi. (c) Moocher.

La Cooper's Orianthi. (c) Moocher.

Voici une ambiance chauffée à bloc avant l’arrivée sur scène d’Horimanti… Pardon je voulais dire d’Alice Cooper! Quand je dis que l’ambiance est chaude je n’exagère en rien! L’arrivée prochaine d’Origami met certains jeunes autour de moi dans un état digne d’une première visite au salon Erotica (tous les ans, dans les meilleurs parcs des expos de France, venez nombreux !). Ce soir, Alice n’amènera pas son boa  mais bon nombre de reptiles vont frétiller dans leur tanière de coton!

Le maître Alice se dresse devant nous ! (c) Moocher.

Soudain, la lumière s’éteint et des ombres apparaissent derrière le rideau géant dressé au bord de la scène, signe que le début du show est imminent. Une petite intro musicale, un court discours prononcé par la voix rocailleuse d’Alice et c’est l’explosion; le rideau tombe, le groupe nous apparaît alors directement en train de jouer « Black Widow » (1975) tandis que la star se dresse sur un immense escalier à roulettes vêtu d’un blouson-araignée, accessoires déjà utilisés sur la tournée précédente. Soudain, une apparition! A trois mètres en face de moi se trouve un personnage qui visiblement semble être une femme et qui tiens dans ses mains un des mes instruments favoris, à savoir une guitare. Je m’ interroge : « Mais qui est cet être splendide qui paraît tombé du ciel plutôt que de surgir des entrailles de l’enfer comme cela semble être le cas des autres musiciens ? ». Mais oui c’est Orienti ! Et c’est vrai qu’elle manie bien le manche (non messieurs je parle de celui de la guitare) à défaut d’être vraiment expressive… Force est de constater qu’elle aura passé les 1h45 de concert aussi statique que les piquets situés entre les jambes des jeunes spectateurs derrière moi (heureusement d’ailleurs que nous n’étions pas serrés comme au premier rang de Motörhead!).

Une petite partie de notre grande bande in front of the stage.(c) Moocher.

Une magistrale entrée en scène. La Cooper's Orianthi. (c) Pierrot.

Et la musique dans tout ça? Tout simplement magistrale! Une  set-list frôlant la perfection, très différente d’il y a deux ans au Hellfest. Alice avait alors joué près d’une trentaine de titres mais ils étaient, manque de temps oblige, raccourcis pour la plupart (pour ne dire bâclés).

Pas si handicapé que ça! (c) Pierrot.

Pas si handicapé que ça! (c) Pierrot.

Cette fois, la star nous offre 18 morceaux dans leur intégralité, plus unmedley de 4 titres, incluant des chansons cultes, non jouées au Hellfest!  « Hey Stoopid », « Feed my Frankenstein »  (1991) et surtout le cultissime « Halo of Flies », morceau fleuve de 9 minutes (1971) ont raisonné comme des hymnes. Ce dernier est sans doute mon titre favori. Etant donné sa longueur, je n’aurais jamais imaginé l’entendre en live ! Ce fut  le point d’orgue du concert !

Mais non Adrien, ne rêve pas, ce sourire n'est pas pour toi! (c) Pierrot.

Tous les classiques habituels du groupe étaient présents : « I’m 18 » (1970), « Under My Wheels » (1971), « No More Mr. Nice Guy » (1973), « Only Women Bleed » (1975), « Poison » (1989) ou encore « School’s Out » (1972), mais aussi quelques brûlots oubliés lors de la précédente tournée comme l’excellent « Brutal Planet » (issu de l’album du même nom sorti en 2000 qui avait vu Alice orienter sa musique vers un côté plus moderne, presque indus) et un « Muscle Of Love » (1974) du plus bel effet. La surprise de la set-list viendra du morceau « Clones » (1979), qui correspond à la période la moins connue de son répertoire. Le concert se clôturera avec une reprise du « Another Brick In The Wall » de Pink Floyd et « Elected » (1973).

Alice by Moocher.

Tommy by Moocher.

Le spectacle, bien que moins poussé qu’au Hellfest (Alice ne meurt qu’une seule fois !), fut grandiose ! Malgré des éléments déjà présents dans leur majorité sur l’ancienne tournée, Alice est parvenu à nous surprendre notamment sur « Feed My Frankenstein » avec l’apparition d’un monstre géant sur scène ou encore sur « Clones » avec la venue de trois ou quatre Alice Cooper supplémentaires (non j’étais parfaitement sobre).

Chuck by Moocher.

Le bassiste Chuck Garric (mimiques à la Gene Simmons de rigueur, il faut dire que ce fan du baiser joue aussi avec ESP à ses heures perdues) fut impressionnant tout au long de la soirée (metion spéciale à son duo inspiré avec le batteur Glen Sobel) tout comme le guitariste rythmique Tommy Henriksen qui arpenta la scène en long, en large et en travers, venant s’amuser avec les fans, se dandiner devant nous et nous offrant une véritable pluie de médiators à lui tout seul. Je ne m’étalerais pas sur le clone de Santana qui se trouvait à l’opposé de nous et qui fut aussi immobile qu’une statue … Nous apprendront plus tard que le ‘Village People‘ comme le surnomma Titi était en fait une légende des débuts d’Alice : Steve Hunter. Il joua même sur le légendaire Berlin de Lou Reed! Ce qui n’en fait pas une bête de scène…loin s’en faut !

Pas de chance, Steve Hunter, le village people est resté à droite ! (c) Moocher.

A propos d’Origami, mon sentiment reste mitigé : elle est jolie certes, et excellente guitariste, mais son attitude m’a laissé perplexe tant elle paraît distante, presque hautaine, en tout cas superficielle, humainement parlant. D’ailleurs elle ne décrochera qu’un seul petit sourire tout au long du concert, au moment où elle se rendit compte qu’un beau gosse blond et musclé avec un t-shirt Def Leppard se tenait juste devant elle à la barrière. Le reste du temps, pas grand-chose ; tout juste quelques médiators envoyés avec l’énergie du désespoir dont un tombera comme par hasard dans la main du beau gosse dont je vous parlais juste avant et qui aura pour effet d’attiser la jalousie de ses acolytes. Pour autant, je reste persuadé qu’elle fait plus d’effet aux phallus qu’aux oreilles d’une bonne partie de ses admirateurs.

Orianthi, expressive à souhaits! (c) Mocher.

Alice, exemplaire! (c) Moocher.

Alice, exemplaire! (c) Moocher.

Alice Cooper,quant-à lui, fut une fois de plus exemplaire, malgré son âge avancé. Le front man n’aura cessé de se balader sur la scène et de se mouvoir sur les flight-cases judicieusement agencés devant celle-ci (à certains moments il était tellement prêt de nous que nous pouvions le toucher), bref il tient une forme olympique!

Docteur Alice.(c) Pierrot.

Docteur Alice.(c) Pierrot.

Certes le bougre n’est pas très loquace et n’intervient à aucun moment entre les chansons, mais le show est parfaitement rodé et le spectacle qu’il nous offre, bien que dénué de toute spontanéité, ne laisse aucun répit au spectateur et ne souffre d’aucune baisse de régime. C’est du gros show à l’américaine quoi !

La creature surgit derrière Chuck. (c) Pierrot.

La creature surgit derrière Chuck. (c) Pierrot.

En définitive, nous sortons tous du Zénith conquis, le sourire aux lèvres, conscients d’avoir vécu un grand moment. Si je dois faire une comparaison avec le Hellfestje dirais que cette date toulousaine tout aussi spectaculaire dans la forme mais beaucoup plus agréable à vivre dans le fond pour plusieurs raisons : l’interprétation des chansons, judicieusement choisies et jouées dans leur intégralité avec des musiciens talentueux qui donnaient pour la plupart du répondant au public survolté.

Alice se dresse devant nous.  (c) Pierrot.

Alice se dresse devant nous. (c) Pierrot.

Mais aussi et surtout par le fait d’être au premier rang, dans une salle aux dimensions plus humaine que la main stage 1 du Hellfest, si proche des musiciens, sans être compressé, entre potes… Des conditions optimales pour bien profiter d’un show de grande classe. Les décors et les jeux de lumières somptueux venant ponctuer le tout,  nous avons assisté ce soir à un vrai concert de hard rock spectaculaire à défaut de la pièce de théâtre musicale proposée en 2010. Papy Alice a définitivement de beaux restes et espérons qu’il pourra tirer la bourre comme ce soir encore longtemps s’il ne claque pas d’une overdose de viagra en essayant de tirer cette bougre d’Orienthaï (espérons qu’elle aura la conscience de se rabattre plutôt sur les plaquettes de Chuck !).

Allez, voici Mr Vincent Furnier. (c) Pierrot.

Encore un grand moment comme seule la musique peut nous offrir. Alice Cooper est et restera un géant du rock, avec un style maintes fois copié mais jamais égalé. Je profite de cette chronique pour remercier toute la bande de joyeux lurons qui m’accompagne régulièrement dans ces moments là, parce que vivre sa passion c’est bien, mais la partager c’est encore mieux ! Celle-ci se prolongera d’ailleurs tard dans la nuit chez Titi… We’ve got to rock to stay alive!

La prochaine, c'est quand vous voulez!  (c) Bernard.

La prochaine, c'est quand vous voulez! Dans 29 ans, il sera trop tard et Orianthi aura perdu de sa superbe! (c) Bernard.

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Chroniqueur : Adrien.

Mise en page, petits ajouts et légendes : Titi.

Photos : Moocher + Bernard + Pierrot.

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Toutes les photos de Moocher sont sur son site. D’autres belles photos du concert d’ Alice Cooper sont à découvrir ici .

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LE WEBSITE D’ALICE COOPER

LE MYSPACE DE THE TREATMENT

SET LIST ALICE COOPER :

La set list de Toulouse.

31 Réponses to “ALICE COOPER : Orianthesque ! ( + THE TREATMENT ) – Samedi 5 novembre 2011 – Toulouse, Le Zénith –”

  1. D’accord avec toi Adrien, ce fut un super concert et Alice n’a pas changé depuis le concert de 1982 !

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  2. yeah ! Orianthi a machouillé son chewing-gum pendant tout le concert, ce qui n’enlève rien de son talent à cette jeune guitar-héroïne !

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  3. Euh… Une question: c’est bien un concert d’Alice Cooper qui est chroniqué là ou bien celui d’Orianthi ..??? Non parce qu’entre les photos et le texte, je ne me suis pas amusé à comptabiliser qui d’Alice ou de la blonde apparaissait le plus souvent mais je me demande si celle-ci ne vole pas la vedette à Cooper… Si encore ça valait la peine mais même pas! Je me suis fortement demandé ce que cette fille pouvait bien foutre là… Quel besoin d’avoir trois guitaristes pour cette musique qui n’en demande que deux grand maximum?? Quel besoin de tout centrer sur cette gonzesse qui ne sert donc à rien sans même citer une seule fois dans le texte le nom de Steve Hunter, vieux camarade de Cooper qui embrasse à nouveau la scène aux cotés du maître du shock rock??? (mais j’excuse ce point là, tout le monde ne peut le connaître)
    La question qui tue est bien sûr: si cela avait été un mec, aurait il eu tout cela..? Je ne pense pas… Une seule créature bien fardée et voilà que les trois quarts de la salle perdent leur moyen et deviennent plus bête que les bêtes… Mention spéciale à mon petit voisin qui, dés qu »Orianthi l’approchait, lui faisait un coeur avec ses mains… Risible au plus au point ce mec… Une seule femme et le monde bascule… Quelle bassesse, vraiment! Cela me fait presque penser aux imbéciles qui payent un concert d’Epica pour se rincer l’oeil…

    Pour l’information: Alice Cooper étant marié, père et fervent catholique, je pense que le temps de tirer des grognasses est révolu alors pour ce qui est sous entendu viagra et machin…

    Et pour finir sur ce qui a visiblement été la lumière du concert: ne soyez pas trop déçu par le rôle de pétasse hautaine/Prostituée sous LSD qu’Orianthi s’est donné, il ne s’agissait bien sûr que d’un rôle de scène.

    Sinon j’ai trouvé le concert très bon, Alice Cooper très en forme même si je regrette qu’il ne fut pas aussi bon que celui de la tournée précédente. Je l’avais vu à Marseille (je ne compte pas Wacken où Cooper ne « jouait pas à domicile ») où cela avait été vachement plus théâtral et spectaculaire. Comme tu le soulignes, Adrien, Cooper n’est mort ici qu’une fois alors que l’année passée il trépassait quatre ou cinq fois sans compter tout le spectacle qu’il y avait autour: figurant en tout genre, décors plus impressionnant et plein d’autres petits trucs.
    Concernant le manque de participation avec le public je pense que si Cooper interrompait son show pour lancer un « ca va Toulouse? » (ou un « Ca va Toulouse? Orianthi elle est bonne hein? » car sait on jamais…) ça briserait le charme et le rythme. A t’on déjà vu des comédiens au théâtre interrompre le spectacle pour saluer la foule? Eh bien Alice Cooper c’est un peu la même chose.

    Voilà, désolé pour le coup de gueule mais vraiment quand je lis des trucs comme ça je me demande si c’est réel ou si on m’a drogué à mon insu…

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    • Une fois n’est pas coutume Misanthrope mais , je pense que tu as lu bien trop vite, entre les lignes !
      Une petit chapitre est consacré à Steve Hunter, que j’ai moi même surnommé le Village People tant il dénotait…Même si c’est parait il une légende….
      Quant à Orianthi, c’est le décalage propre à JATA qu’Adrien a parfaitement saisi et qu’il a pimenté d’humour, ne tombant pas, bien au contraire dans l’apologie de la belle et regrettant parfois son attitude distante…. Etonnant que tu ais perçu le contraire !
      Quant à moi, certes Alice ne meurt qu’une fois mais j’ai préféré de loin le spectacle , le décor , la set list de cette tournée que le spectacle de la précédente ….
      Merci entout cas de ta fidélité !
      TITI

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      • Bonjour je ne suis pas une habituée du site, mais je ne peux qu’être d’accord avec misanthrope et profondément altérée par les propos que j’ai lu plus tôt sur Orianthi. Non seulement la plupart du temps c’est vulgaire, mais en plus ça montre une fois de plus que lorsque une femelle arrive, les mâles ne sont apparemment plus capables de se comporter en humain civilisé. Vous aurez beau dire que c’est sur le ton de l’humour, c’est dit quand même et c’est désolant… de plus, étant une grande fan d’Alice Cooper, la phrase selon laquelle Alice devrait en profiter pour la « tirer », j’ai vraiment trouvé ça insultant pour l’un et dégradant pour l’autre. décidément, l’homme continuera toujours de fleur ter avec le pitoyable en ce qui concerne les relations avec le sexe opposé…

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    • Je pense que tu n’as pas totalement compris que moi aussi j’avais trouvé Orianthi médiocre et que je ne faisait en aucun point son éloge, au contraire. Sinon ta critique est pertinente bien qu’elle semble démontrer un certains manque du sens de l’humour (le viagra), mais aprés tout tu te surnomme toi-même misanthrope…

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  4. Je comprends bien tout ça Titi, et j’ai noté le « village people » et je répète ce que j’ai écris: je ne condamne pas pour avoir oublier un nom, moi le premier il y a bien des légendes (ou « légendes ») que je ne connais pas… Je t’invite d’ailleurs à lire mon prochain report de Thin Lizzy à Toulouse en 2012, ne connaissant rien au groupe si cela ne s’est pas arrangé d’ici là je ne pense pas que mon report sera des plus complet.

    Ne t’inquiète pas concernant l’humour. Si j’avais tout aussi mal perçu que tu sembles le croire j’aurai aussi râlé pour toutes les déformations du nom d’Orianthi.

    Mais je continue à penser qu’elle tient une place trop importante, vu son statut, dans ce report (qui à par ça est bon soit dit en passant) comme cela arrive trop souvent dés qu’une gonzesse est sur scène…

    Quoiqu’il en soit: sans rancune!

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  5. Très bonne chronique Adrien , d’accord avec toi sur tous les points , le HF , The Treatment qui fut bon et couillu . Il faut être excellent pour passer après eux et Master Alice fut grandiose .
    kEEP ON ROCKING

    Stay Fan

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  6. Très bon concert pour ma part, l’un de meilleurs de cette fin d’année.
    Grosse claque avec The Treatment, inconnu au bataillon pour moi mais que je n’oublierai pas de sitôt.
    Alice a été propre, carré, excellent et accompagné par des musiciens talentueux. Dommage qu’il se soir contenté d’1h30 alors que le public en redemandait mais il vaut mieux 1h30 de très bonne musique que 2h de soupe.

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  7. Super chronique pour une super soirée, bravo Adrien !
    Pour ce qui est d’Orianthi, restons calmes … perso j’ai saisi le second degré de tes remarques et j’ai bien ri en les lisant, comme quoi c’est possible même si on est une nana et une méga fan d’Alice 🙂
    D’ailleurs visiblement, l’interêt que la belle suscite chez ces messieurs amuse beaucoup mr Cooper !!

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  8. Excellent concert avec un grand monsieur du hardrock.
    Quel joie en effet d’avoir pu entendre un « halo of flies » par exemple, Killer étant mon album « vénéré » d’Alice.
    Orianthi est quand meme une incroyable guitariste, une bonne contribution au show malgré son air un peu « glacial »
    Tres bonne chronique en passant!

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  9. hi Guys
    excellent report du beau gosse muscle !!pour ma part tout a fait d accord avec toi j ai vu la meme chose :un grand ALICE ( mais je suis pas impartial) avec un groupe soude autour de lui et une tit’ blondinette a perruque (si si j y tiens ) qui se la jouait Rockstar
    pour ma part j aime bien la facon dont tu abordes ta chronique car effectivement vu comment tout le monde autour de nous nous a parle d Orianthi j ai cru que Jimi H etait ressucite …..ce qui pour moi est tres loin de la verite un bon gratteux c est pas que de la technique c est aussi du feeling et de ce cote la pour moi elle en a autant qu il y a de poils sur un Oeuf !
    tres bonne chronique
    keep on Rockin’

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  10. hi!! bonne chronique adrien,un tres bon alice ,un de mes meilleurs concerts depuis des lunes! Bon orianthi c ‘était la cerise sur le gateau pas fou le vincent furnier!!
    j’ai bien aimé « the treatment » sur les trois ou quatre premier morceaux aprés il y a eu comme un moment de moin bien (enfin d aprés moi) a suivre je pense!!
    Merci d’avoir inclus quelque sunes de mes photos!
    « no more mister nice guy »

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  11. Kissforeverinmyheartbecuztheirthebestbandintheuniversevereandforevermore Says:

    Moi je trouve cette chronique excellente, pleine d’humour, parfaitement mise en relief par les photos qui l’accompagnent et je suis sûr qu’Orianthi porte une perruque. Sinon j’aimerais bien voir la tête du beau gosse qui a réussi à faire sourire Orianthi, il doit en jeter grave pour lui avoir taper dans l’oeil comme ça!

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  12. The BG with the Def Lep shirt Says:

    Quel homme en tout cas!

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  13. Bonne chronique Adrien, résumé d’une soirée qui méritait que je traverse la France pour être avec vous !
    Mister Cooper est toujours présent, et le groupe qui l’accompagne fait plaisir à voir ; je pense notamment à Chuck Garric qui pour moi est fait pour la scène.
    The Treatment était vraiment bon, content que tu l’ais souligné, et on réentendra sûrement parlé d’eux !

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  14. Bourget Pierre-François Says:

    Ah…sacré Adrien qui m’a fait éclater de rire devant le pc,super report,une superbe soirée avec toute la bande!! Et vive the treatment ma révélation/espoirs 2011!!!Rock’n’roll.

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  15. cc excellent ta chronique !!!!!! bize a tous

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  16. Jérôme barre Says:

    Merci pour cette chronique
    J aurais aimé être des vôtres mais grâce à toi j’ai la possibilité de vivre ce concert. Alice Cooper reste une des références en matière de show et son catalogue de titre offre des sets listes qui apportent leurs lots de surprises

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  17. J’ai trouvé ta chronique très agréable à lire Adrien, de plus teintée d’humour! Félicitations!

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  18. Assez d’accord avec la chro’ d’Adrien : trés bon show du Coop’ (et pourtant je suis pas fan du tout de sa musique). Dommage qu’il n’ait pas joué de morceaux de l’excellent dernier album « Welcome…2 », mais bon c’était une tournée best-of si j’ai bien compris.
    Quand à Orianthi : trés bonne guitariste, mais qui n’avait rien à foutre là, et qui n’a rien non plus d’extraordinaire dans son jeu a priori. Enfin ça a permis à certains de se rincer l’oeil…

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  19. Salut à tous, j’ai 53 ans et je suis Alice cooper depuis 1969. Pour ma part, et l »ayant vu plus de vingt fois sur scène je reste à chaque fois baba par la forme de ce mec, et surtout par son inspiration toujours renouvelée, la qualité des membres de ses groupes, etc…
    Il est pour moi irremplaçable, même si je suis aussi un grand fan de KISS, que je considère comme ses fils, qui pourra prendre sa place lorsque notre prince of darkness sera parti, personne… J’écoute du hard depuis bien longtemps, et je ne vois aucun groupe à ce jour, ni aucune personne pouvant faire la même chose que lui, avec le même feeling… Bonne bourre à vous tous !!!!!!!!

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  20. Tres bonne chronique Adrien,et c’était un des meilleurs concerts que nous ayons fait avec Camille.Pour ce qui est de ton humour, apparemment tout le monde ne le comprend pas, mais bon….
    Ce fut une très bonne soirée et une super after, comme tu dis, partagée entre poest, c’était le top !!! en espérant qu’il repasse à Toulouse pour sa prochaine tournée !!!

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  21. 7 ans que j’attendais ce concert et je n’ai pas été déçue, loin de là! Je n’arrive toujours pas à croire que j’ai vu Alice Cooper en vrai, là à 1m de moi, interprétant tout ces génialissimes morceaux! J’ai attendu 5h devant le Zenith mais ça en valais largement la peine!

    Merci pour cette chronique^^!

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  22. Bon le temps a pas mal passé depuis ce concert, mon commentaire arrive un peu tard mais mieux vaut tard que jamais 😉
    D’autant que mes souvenirs de ce concert me sont bien encore en mémoire. C’était la première fois que je voyais Alice Cooper sur scène, je savais que les shows du monsieur sont assez impressionnants mais je ne m’attendais pas pour être honnête à un tel spectacle.

    Un show donc grandiose, avec du gros son et une setlist très savamment dosée, un vrai bonheur que de découvrir pour la première fois sur scène cette légende vivante du shock-rock.
    Perso j’ai bien aimé le flegme de Steve Hunter qui s’intégrait malgré tout assez bien dans l’ensemble. En tous les cas, c’est loin d’être un manchot de la 6-cordes et rien que pour ça, sa place était parfaitement justifiée.

    Sinon pour finir, un petit mot sur la première partie : je ne connaissais pas du tout The Treatment mais j’ai pris plaisir avec ce groupe qui avait une énergie très marquée. Le seul petit reproche que je ferai est que ça manquait un peu de solos. Oui je sais les solos c’est plus trop à la mode mais vu que je me fiche de la mode… Enfin bref, avec quelques bons petits solos le plaisir aurait été plus fort.

    PS : Moi j’aime bien l’aspect humoristique et décalé de cette chronique!

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